3 Mars 2017 - Hockey Sur Glace

HOCKEY SUR GLACE - 3 MARS 2017

Rouge : Ducs de Dijon / Bleu : Les Pionniers de Chamonix Morzine

Ce vendredi 3 mars 2017, je suis allée assister à mon premier match de hockey sur glace. C'est plutôt étonnant d'autant que je suis pas une personne très sportive. Mais alors vraiment pas sportive. Mais j'aime bien le sport en général. Enfin, le regarder. Pas en faire. Bref. On a quand même un peu galéré. Non parce que pour assister au match, faut des places. Et pour avoir les places faut les acheter de préférence sur Internet. Mais sur internet, on peut pas avoir la réduction étudiante, et on va pas passer à côté de deux euros. Donc fallait aller acheter les place une heure avant le debut du match en « priant » pour qu'il en reste... D'autant qu'on ne savait pas où les places étaient vendues une fois à la patinoire... 

Étant arrivées avec une bonne heure d'avance, nous avons pu choisir nos places. Des places relativement trop près du stand de crêpes, gaufres et autres si vous voulez mon avis. Aussi, nous avons pu assister à l'échauffement des deux équipes. Sur la glace les Ducs de Dijon (en rouge) et les Pionniers de Chamonix-Morzine (en blanc). Vous saviez qu'il y avait un gars qui s'appelle Bogdanoff dans l'équipe de Chamonix. Et honnêtement, ça m'a bien fait rire. On a aussi assisté au lissage de la glace !! J'adore le véhicule qui est utilisé ! J'adorerai essayé ! 

Est-il utile de préciser que je suis novice, et encore le mot est faible, en matière de hockey ? Que je ne connais absolument pas les règles ? Ni les joueurs ? Et qu'il ne nous est, ni a moi ni a mon amie,venue à l'esprit de nous renseigner sur les règles, ou sur les joueurs ? Ne serait-ce que sur l'équipe de Dijon... La seule chose de sûre que nous savions concernait le temps des différentes périodes : 20 minutes. Et du nombre de période : 3. 

Première Période : Début de la première période à 20H00. Le début de cette période marque le début d'un match dans le flou total. Sans idées des règles ce n'est pas forcement hyper simple de suivre tout ce qu'il passe, et je suis peut-être un tout petit peu perdue. Le jeu est relativement rapide, les changements de joueurs sur la glace se fait à une vitesse folle. Ils doivent être très précis parce que je n'ai pas l'impression que les joueurs se concertent à chaque changements.

Les actions s'enchaînent très vite. Genre à un moment l'action se passe d'un côté du terrain, et l'instant d'après ils sont déjà de l'autre côté. Aucun point n'est marqué ceci dit. Mais en tout cas c'est rapide. 

A la suite de cette période, les joueurs ont le droit à 12 minutes, je crois, de pause. Et le public aussi. Un public un peu amorphe. Et ça se ressent un peu. Je peux rien dire, je ne suis pas non plus très à fond, mais à ma décharge je ne suis pas une fervente supportrice. C'est donc la pause, buvette ouverte au public, le stand de bouffe aussi. Résultat, mes voisins de banc se retrouve avec chacun une barquette de frites dans les mains. Et à côté de mon amie, c'est un sandwich qui fait son apparition. Je vous ai dit que nous n'avions pas mangé avant de venir ? 

Deuxième Période : C'est une deuxième période toujours aussi floue. Toujours aussi rapide. Des fautes sont signalées. D'ailleurs, je comprends pas comment ils font pour signalée les fautes. Déjà ça va tellement vite que c'est compliqué. Ensuite, j'ai l'impression que c'est beaucoup de subjectivité ces histoires de fautes. Les motifs des fautes c'est quand même genre « pour faire tomber », « pour coup de coude », « pour cross haute » - que j'ai personnellement interprété comme coup de crosse bien placer dans la tronche. Des pénalités sont données individuellement par des interdictions de jeu de deux minutes. Et il faut dire que Dijon, à défaut de marquer des but, prend pas mal de fautes. 

A la fin de cette période, Dijon est mené de 5 but à 1 seul et unique but. Autant dire que l'on a déjà une bonne idée de comment ça va se finir. 

Seconde pause. Comme à chaque pause, le véhicule de lissage de glace – ça a un nom cette merveille ? - ce qui n'est pas du luxe vu l'état dans lequel la glace termine au bout de 20 minutes de jeu. Après l'invasion des frites, ce sont les gaufres qui font leur apparition dans notre champs de vision. On test notre résistance à l'appel de la nourriture visiblement. Une vraie torture. 

Troisième Période : Je vous ai dit que les Ducs étaient de plus en plus vénères depuis qu'ils perdent ? Non ? Eh bien je vous le dit. Le jeu est vraiment de plus en plus violent, de plus en plus rapide aussi. Et paradoxalement, de plus en plus précis du côté des Ducs de Dijon surtout. Comme si ils se réveillaient enfin. Du coup, le public se réveille aussi. Les joueurs se poussent, déséquilibrent l'équipe adverse, les plaquent contre les parois... Le match est de plus en plus musclé.

Pour l'honneur, Dijon marque enfin un second et ultime but alors que du côté de Chamonix, deux nouveaux buts sont ajouté aux 5 précédents. Comme si c'était pas assez. 

A 5 minutes de la fin, c'est limite si deux joueurs n'allaient pas se battre directement sur la glace ! Mais genre au point qu'il a fallu qu'un arbitre les séparent et qu'ils se sont pris deux minutes de pénalité chacun. Pour ce que ça change... 

Je ressors de cette expérience totalement changée ! Je déconne. J'ai vraiment beaucoup aimé assisté à ce match. Je n'avais vraiment jamais vu un match de hockey et je trouve vraiment que c'est un sport intéressant. C'est vraiment sympa. En plus, le fait que ce soit sur la glace, et que les joueurs glissent sur la glace donne vraiment des trajectoires, des actions, très esthétiques, presque artistiques. Ce point là tranche totalement avec une certaine violence dans le jeu, mais une violence qui ajoute  toujours un peu plus d'action. Il se passe toujours quelques chose sur la glace. On ne s’ennuie jamais !

J'ai tellement aimé que j'ai envisagé d'acheter un maillot des Ducs de Dijon. Bon, d'accord. J'ai envisagé d'en acheter un pour la seule et unique raison que le maillot est juste super beau, et qu'il ferrait une chemise de nuit parfaite. Mais bon, à 55€ les raisons sont un peu limites et peu viable pour mon compte en banque d'étudiante au bout du rouleau. 

Je pense réellement retourner voir un match un de ces jours. En espérant voir Dijon gagner la prochaine fois ! En plus, à 9€ la place plein tarif et 7€ la place étudiante, c'est carrément hyper accessible ! 

Souvenirs Souvenir #1 - 08 décembre 2015

8 décembre 2015 – Match d’Improvisation Hero Corp VS les Amuses Gueules

Affiche du Match d'Improvisation

Inutile de dire que je suis allée voir ce match d’improvisation uniquement pour voir les comédiens de Hero Corp. Surtout Simon Astier, je l’avoue. C’est difficile d’écrire sur un événements qui a eu lieu un an plus tôt. Je ne sais pas quoi dire. C’était mon premier match d’improvisation. Je n’avais jamais assisté a ce genre de spectacle. Les quelques vidéos sur internet ne permettent pas vraiment de se faire une idée précise de cette forme. J’y allais donc avec beaucoup de curiosité, d’enthousiasme et énormément impatience.

Premier point positif, la salle. Le théâtre de Feuillants a Dijon. Une très jolie salle et vraiment très bien faite. La salle est faite à la manière d’un amphithéâtre. Plus on va au fond, plus nous somme en hauteur. Les personnes devant nous, quelles soient grandes ou petites ne nous empêchent pas de voir la scène. C’était donc très agréable de ne pas avoir a se tordre dans tout les sens pour ne serai-ce qu’apercevoir la scène, et par extension les comédiens/humoriste/Improvisateurs, bref vous m’avez comprise. Quelques soit la place prise dans la salle, nous avions une vue imprenable sur la scène. Par contre, l’espace entre les jambes et les sièges de devant était ridiculement petit…

J’ai été agréablement surprise par le match. Bien que peu familière avec ce genre de chose, j’ai fini par comprendre certaines règles. Règles que je serais incapable de restituer aujourd’hui. A part peut-être l’interdiction de rire. J’aime bien la système de vote. Le public vote à l’aide de pancarte. Dire que j’ai voté objectivement serait en grande partie un mensonge. Il y avait quand même l’équipe de Hero Corp, mené par Simon Astier. Donc oui, j’ai voté pour eux quasiment à chaque fois. J’ai d voté deux fois pour es Amuses Gueules de Dijon, parce qu’ils avaient clairement été bien au dessus des autres.

L’exercice d’improvisation est un exercice complètement différent que les spectacles classique. Ça peut paraître logique dit comme ça, mais je ne m’étais pas rendu compte que ça l’était autant. Tout ce qu’ils ont c’est un thème, un temps, et parfois une difficulté (du genre parler avec un accent). Et avec ça, il doivent construire une situation, provoquer le rire, ne pas faire de faute, … Et surtout être meilleur que l’équipe adverse. Sachant que quelques fois, les deux équipes jouent ensemble. Je crois que l’un des truc les plus drôle était que le public avait le pouvoir de lancer des chaussettes sur scène quand il n’était pas d’accord avec une décision… J’ai gardé la paire de chaussette…

Mais ma soirée à été placée sous le signe du rire, de la bonne humeur et d’une cruelle absence d’objectivité de ma part. J’ai beaucoup ris. Le faite que tout soit inventé dans la seconde n’apporte que de l’inattendu, que ce soit pour les joueurs que pour les spectateurs. Tout peut arriver. Et les fou rire ne sont pas rare. Certaines blagues sont d’une telle spontanéité que s’en ai que plus drôle encore. J’ai tout aimé dans ce match d’improvisation. Les deux équipes étaient drôles, douées, et plus encore. Franchement, les deux méritaient de gagner. Finalement, c’est l’équipe de Hero Corp qui a gagné pour mon plus grand plaisir.

Je ne suis pas restée pour rencontrer les artistes. Déjà parce que j’étais seule - et que je suis incapable de parler à des gens que j’adore sans me mettre a bégayer lamentablement – mais aussi parce que j’avais un bus a prendre – jamais arrivé d’ailleurs – puis un tram. Donc pas de temps à perdre, bien qu’une photo et quelques mots m’auraient ravie pour cent ans.

De cette soirée, je garde un souvenir impérissable, beaucoup de joie, de souvenirs et de rire. Et je garde encore cette sensation d’être porter par le rire pendant une soirée, d’oublier tout nos problème le temps de deux petites heures. C’était magique.

D’ailleurs, j’ai visiblement raté le match de cette année au Théâtre des Feuillants entre les deux équipes. C’est dommage. Mais un autre match est prévu pour le 12 mai 2017 entre Hero Corp et Montréal. Ça tombe -encore- pendant une période de partiels, mais je songe sérieusement à y aller. En espérant que les places ne partent pas trop vite.

« On va pas se cantonner au wazabi ».

Arnaud Tsamère (équipe Hero Corp évidemment) sur une 

improvisation d’une équipe du GIGN version film de ninja. 

Coup de ❤ de la vie : The Newsroom

Affiche The Newsroom

 

 

"Good Evening. I'm Will McAvoy. 

This is Newsnight." 

 

Cette série est juste mon coup de cœur de l’année, de la vie, de toute les séries sur lesquelles j’ai pu tomber, et de l’univers entier. C’est une amie qui m’a poussé à la regarder, et je ne le regrette absolument pas.

Dans cette série, nous avons à faire à une bande de journalistes idéaliste particulièrement attachants. Et à un présentateurs de journal télévisé particulièrement arrogant, énervant, agaçant, mais certainement attachant à sa façon. Ces journalistes vont tout faire pour donner l’information la plus vraie possible et faire de leur JT le meilleur en terme de qualité. Ils vont vérifier leurs informations et multiplier les sources quitte à être les derniers à balancer l’information. Au moins, eux ils n’auront pas à démentir quoi que ce soit. 

Casting The Newsroom

 Mais, faire ce genre de journal télévisé est ambitieux, et l’audience ne suit pas vraiment, donc l’argent non plus. L’équipe va donc devoir faire face à des patrons qui se fichent de faire de l’information, ce qu’ils veulent c’est de l’info. Comme si ce n’était pas assez, plusieurs affaires, gros coup journalistiques, presse people, et autres vont leur tomber dessus, ce qui donne de nombreux rebondissement. Ajoutons que la série prend un grand nombre d’événements réels tel que les Attentats de Boston, ou les Elections Américaines pour ne citer qu’eux, et nous nous retrouvons devant une série aussi réaliste que possible.

J’ai dévoré cette série. Littéralement. En l’espace de deux semaine et demi de vacance j’ai regardé les trois saisons d’une dizaine d’épisodes chacune. J’ai aimé voir l’évolution des personnages, leur état d’esprits. De journalistes sceptiques quant à l’idée de faire un journal pour l’information et non pas pour l’audience, ils sont devenu des journalistes convaincu de faire de le véritable information. Leur vision du monde, du journalisme, de la vie en générale change. Ils deviennent une véritable petite famille avec des hauts et des bas, mais toujours soudé.

Mais surtout, ce que j’ai aimé voir, c’est la vision utopique du journalisme qui est montré. Je voudrais que ce soit ce journalisme là qui prime. Et non pas le journalisme du buzz où être le premier à donner l’information compte plus que l’événement en lui même. Et où les sources ne sont pas forcément vérifier en particulier sur les chaîne d’information en continu.

C’est une série qui donne envie de devenir journaliste pour de bonnes raisons, pour transmettre l’information. C’est une série pleine de rebondissements. Pleine d’humour. Elle n’a pas eu un succès fou en France, on en a pas entendu parler, mais ça montre bien que les meilleures séries ne sont pas forcement celles qui font le plus d’audience ou le plus parlé d’elles. Quoi qu’il en soit, je recommande vivement cette série. Elle mérite vraiment qu’on la connaisse. 

Oh, et avant que j'oublie. Longue vie a Don Quichotte. 

 Trailer The Newsroom - Saison 01 - VO

Fantastic Beasts - Un film pour les fans ?

Affiche Fantastic Beasts

J’avoue avoir eu quelques réserves quant à l’existence de ce film, même / surtout en tant que Potterhead. Faire un film sur la base d’une sorte de dictionnaire des Animaux Fantastiques me semblait particulièrement compliqué. Mais finalement…

Un vrai bijoux ce film. Une véritable beauté. J’avais peur que l’univers de Harry Potter en prenne un coup, et ça ne c’est pas passé comme ça. Non loin de là. L’univers reste le même, il est magique, fantastique. L’ambiance est la même. Mais le pays, l’époque, les personnages, tout est différent. Le film n’entache en rien ce que l’on sait de l’époque de Harry, on en apprend juste un peu plus sur le monde qui a bercé notre enfance, notre adolescence. En tout cas, pour ce qui est de ma génération. Enfin des informations sur le monde magique hors Grande-Bretagne !! On en sait désormais plus sur le monde magique américain, différent sur de nombreux points de celui des Anglais. Bien que l’attitude envers les Moldus – Non-Maj en Amérique- se rapproche énormément de la pensée des Sang Pur anglais. 

 

Niffleur

La première partie est de mon point de vu, totalement faite pour les fans. C’est dans cette partie que l’on fait connaissance avec les Animaux Fantastiques et avec les personnages principaux. C’est ma partie préférée je pense. Les animaux sont tellement beaux. J’en avais des étoiles pleins les yeux. Tous ces animaux dont certains sont évoqués dans les films et les livres de la saga mais qui ne sont jamais montrés… Les voir c’est juste magique, et puis certains sont tellement mignons, adorables et attachants.

La deuxième partie est beaucoup plus sombre, on rentre beaucoup plus dans l’histoire. Et l’histoire est vraiment sombre. La gravité de la situation prend la place de la fantastique découverte des animaux et l’histoire nous emporte avec elle. Je regrette tout de même ne pas avoir eu plus d’information sur la créature qui fout le bordel dans New York.

Avec un soupson humour, d’amour, de l’amitié et une belle aventure, ce film c’est un véritable petit bijoux qui ravira les fan de la saga, mais peut-être aussi des non initiés à l’univers de Harry Potter. Ceci dit, je ne conseille pas forcement Fantastic Beast aux enfant de moins de 10 ans. 

Pickett le Botruc

Et puis, on en parle du fait que Newt Scamander est particulièrement mignon et attachant ? Et qu’il rend vachement honneur à la (meilleure) maison (de Poudlard) Poufsouffle ? On en parle du petit botruc hyper chou ? Et du Nifleur aussi mignon qu’exaspérant ? Et de Frank ? Et de Queenie ? Et de Jacob ? Et du petit insecte magique que l'on voit tout le long du film mais dont ne se soucis absolument pas ?

J'ai infiniment hâte de voir la suite de ce film. En espérant bien sur que la suite soit aussi bien que le premier opus !

Le Mec de Bref. ... En Spectacle

Affiche du spectacle

Samedi 19 Novembre 2016 – Dijon – Salle Romanée Conti.

Cette fois-ci, je suis allée voir Kyan Khojandi – parce que oui, c’est lui le mec de Bref. N’ayant pas vu beaucoup de sketch de sa part je n’avais vraiment aucuns à priori, aucunes attentes particulières. Si ce n’est que de me faire rire, bien sur. Le seul sketch que j’avais vu c’est celui avec le violon en duo avec Navo – l’autre mec de Bref et co-auteur de Kyan - et j’avais vraiment beaucoup aimé. En tout cas, je n’avais pas mis de grosses espérance et j’avais donc tout le loisir d’être surprise.

Et quelle surprise ! Déjà, une petite première partie est prévue. Bon, j’avoue m’être renseignée préalablement sur le déroulement du spectacle et j’avais vaguement compris l’existence d’une première partie. Et en première partie nous avons eu… NAVO ! Dois-je vraiment préciser que c’était vraiment excellent ? Je ne crois pas mais je vais un petit peu en parler quand même.

Déjà, il s’agit de Stand Up. C’est à dire que l’artiste parle en son nom et n’est pas caché derrière un personnage fictif spécialement inventé pour le spectacle. Il s’adresse directement au public. Il dit « tu » et il y a des interactions plus ou moins fréquentes avec le public. N’importe qui dans le public, une réaction spontanée (et surtout peu discrète), une tentative d’applaudissement non suivit, un rire solitaire, un téléphone portable en cours d’utilisation (sonnerie, alarme, photo) ou au contraire une non réaction du public qui équivaut souvent à un gros blanc après une vanne. Moment de solitude, bonjour !

Navo

Navo est donc arrivé avec une énergie débordante. Que dis-je ? Débordante n’est pas le mot. Mesurée. Non, plus. Inexistante. N’allons pas jusque là. Je ne saurais qualifier son énergie. Un simple bonjour à l’allure un poil dépressif annonce le top départ de la soirée. Le sketch se déroule sans encombre. Jusqu’à une non réaction du public, que je pense prévue. « Kyan Khojandi se trouve dans une cage qui ne s’ouvre que grâce aux applaudissement ». Non réaction. Il faut attendre près de 5 ou 10 minutes -peut-être moins, j’ai trouvé ce passage très long pour ma part. Pourquoi autant de temps ? Le retour au début du sketch à chaque applaudissement qui n’avaient pas lieu au bon moment... Très long je vous dis. Mais très drôle ceci dis.

Passons maintenant à "Pulsions", le spectacle de Kyan Khojandi. Comme je l’ai dis, je n’avais aucune idée de ce qu’allait donner ce spectacle. Je n’avais placé aucune espérance dans cette soirée. Enfin, aucunes espérances, javais quand même hâte d’y être parce que j’étais intimement persuadé que j’allais passer une bonne soirée. Et ça na pas raté.

Pulsion est un très bon spectacle. Toujours du Stand Up. Donc un peu d’interaction, un peu de racontage de vie, mais toujours avec énormément d’humour. J’ai beaucoup aimé les références à des blagues survenues un peu plus tôt dans le spectacle. Bon, j’avoue ne pas les avoir toutes saisies à la seconde près… Je suis parfois longue à la détente. Mais s’il y a une référence qui m’a beaucoup faite rire pendant le spectacle, comme le reste de la salle d’ailleurs c’est celle-ci : l’incident (on va appeler ça comme ça, j’avoue ne pas trouver d’autres mots) du mec à la boule de pétanque dans l’Apple Store de Dijon. Mais si ! Vous savez ! Le gars qui est rentré dans l’Apple Store avec une boule de pétanque et qui a péter tous les Iphone… Jouant à Dijon, je suppose qu’on ne pouvait pas passer à côté… Mais ça m’a beaucoup faite rire et ça m’a désespérée. Pour qui on passe à Dijon sérieusement ?!

Le rappel façon Bref. était également excellent. Enfin en gros, le spectacle EST excellent. Plein de tranches de vies plus ou moins amusantes à la base, mais que Kyan Khojandi rend infiniment drôle. Et pour rebondir sur quelques chose qu’il a dit pendant le spectacle, personnellement je ne le voyait pas plus gros à la télé, mais plutôt un peu moins… Dépourvu de cheveux dirons nous.

Je recommande vraiment se spectacle ! Même si on ne connaît pas Bref, Kyan Khojandi, son univers, même s’il vous ai complètement inconnu, le spectacle reste le même, très drôle, et d’une grade qualité. 

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Boulevard des Aris - Concert

Boulevard des Airs, Le concert. 

20 Octobre 2016

 

Le jeudi 20 octobre 2016, j'ai eu la chance d'assister au concert de Boulevard des Airs à Chalon-sur-Saône. Et pourtant ce n'étais pas gagner. Une seule raison, certainement une des meilleures et des pires. Les cours du vendredi matin, 8h, des cours obligatoire, évidemment – ça aurait été des cours magistraux, je me serais pas gênée de partir en weekend prolongé. Mais voilà, il s'agissait de deux cours obligatoire... A Dijon. Et finalement, le train est une invention merveilleuse qui permet de se rendre à un concert le jeudi et d'arriver en cours le vendredi à 8h sans aucuns problèmes – à condition bien sûr de sacrifier quelques heures de sommeil.

C'est ainsi que je me suis retrouvée à Chalon, dans la salle Marcel Sambat, dans la fosse et ce en compagnie de ma tante et ma petite sœur. Notre arrivée sur les lieux avec un peu plus d'une heure d'avance à fait que nous étions extrêmement bien placées. Assez proche de la scène, à environ quatre mètre, peu être un peu moins, ou un peu plus... Je suis loin d'avoir le compas dans l’œil. Bref, en concert, je n'ai jamais été aussi proche de la scène. Et ça, c'était déjà un bon point pour une soirée réussie !

20H00 → Début du concert. Enfin, début de la première partie surtout. Elle est tenu par Aude Henneville. Que je n'ai, je l'avoue pas reconnue tout de suite. Pour tout dire, je n'étais même pas au courant qu'il y avait une première partie avant d'arrivée dans la salle... J'ai eu l'impression de l'avoir déjà vue pendant tout le temps où elle est restée sur scène. Jusqu’à ce qu'elle se présente. Quelque chose s'est illuminé en moi. Aude Henneville ! The Voice ! Elle a été finaliste de la saison 1 dans l'équipe de Louis Bertignac. Franchement, j'ai pas tout compris aux paroles, peut-être un problème de son. Mais malgré tout j'ai bien aimé. Je vais étudier ce qu'elle fait avec un peu plus de détails quand j'arrêterais d'écouter BdA en boucle...

20H30 → Fin de la première partie. Petite pause pendant laquelle les personnes qui le veulent peuvent discuter avec Aude près de la buvette. Mais perdre ma place ? Jamais ! Bon, et quand je dis petite pause, j'entends petite pause de bien une demi-heure quand même. Une demi heure à ne rien faire. A attendre, debout, que le décors s'installe, que les derniers réglages se fassent. Et quand on est existé comme je l'étais, une demi heure c'est vraiment, mais vraiment très long. Interminable en faite !

21H00 → Enfin, ça commence. Le groupe prend place sur la scène, et l'ouverture du concert ce fait sur la chanson « Ce Gamin là », que je connais par cœur. C'est dans ce genre de concert que je me fait peur. Je connais les chansons par cœur (ou presque). Je chante, je crie, je hurle, j’applaudis. Je m'amuse vraiment. Des chansons du dernier album s'enchaînent, entrecoupé d'anciennes chansons des albums précédants comme « Paris-Corbeil ». J'avoue que dès qu'ils sortaient du dernier album, j'étais un peu larguée... Je n'avais pas pensé à m’intéresser au reste de leur répertoire. Bien que larguée, je ne me démonte pas, et j'essaie de suivre... Et de chanter. Quand on connais pas une chanson, c'est une expérience intéressante.
Au niveau de l'ambiance générale dans la salle, tout le monde, chante, danse, applaudis. Tout le monde connais leurs chansons, tout le monde s'amuse. L'ambiance était vraiment magique ! Je crois que personnellement, je n'ai jamais autant chanter et crier de ma vie de spectatrice... En même temps, entre Christophe Maé, j'étais jeune -13 ans- et j'étais plus impressionnée par l'ambiance de la fosse et du concert qu'autre chose, et Emmanuel Moire avec des chansons et par extensions des concert plutôt calme -concert avec des place assise dans TOUTE la salle- et qui reste de loin mon chanteur préféré, on ne peut pas dire que j'ai vu beaucoup de concerts en comparaison avec Boulevard des Airs. Quoi que j'ai presque faillis oublier Mika au festival des Francos Gourmandes... J'avais quand même bien usé ma voix ce jour là...

Sur scène, les membres du groupe sont... comment dire ? Complément fous et hyperactifs. Particulièrement les deux chanteurs principaux qui passent juste leur temps a sauter -des bonds impressionnants il faut le dire, ils ont une sacrée détente-, et à passer d'un bout à l'autre de la scène très rapidement, le tout en chantant. Et en étant à peine essouffler en plus ! Ils m'ont fatiguée rien qu'à les regarder faire ! Des génies je vous dis ! Ils sont vraiment habité par la musique, par ce qu'ils font, par l'ambiance, et c'est quelque chose que je trouve vraiment magique.

Dernière chanson. La fin arrive beaucoup trop vite à mon goût. Mais vraiment beaucoup trop. Un concert beaucoup trop court. Ils nous demandent de faire un cercle au milieu de la fosse pour qu'ils viennent faire la dernière chanson en acoustique dans ce cercle. La formation du cercle est vraiment rapide, elle se fait pas loin de moi. Mais vraiment pas loin puisque je me retrouve à la limite de ce cercle. Après une petite délibération pendant laquelle il a fallut régler la largeur du cercle, et son emplacement (qui n'a pas vraiment bougé en passant), il finissent par venir. On nous demande de nous asseoir. Histoire que tout le monde puisse voir. On un peu serré, je ne vais pas vous mentir. Ils sont là, juste là, à trente centimètres de ma petite personne. C'est juste génial ! Je n'aurais jamais pu les voir de plus près. C'est un grand moment et je profite à fond. J'ai quand même filmer toute la chanson. Je ne pouvais vraiment pas partir sans avoir de souvenirs tangibles de ce moment. BdA jouent « J'm'excuse pas » très vite devenu ma chanson préférée, comme beaucoup d'autre. Mais celle-ci c'est vraiment la meilleure selon moi.

Finalement, une fois que le groupe est remonté sur scène, un ban bourguignon se lance. Notre petit « cri de guerre » Bourguignon. J'aime bien le faire. Je trouve ça cool. Encore plus quand les artistes sont surpris. Bon, là, j'avoue que j'ai bien regardé, il je ne les ai pas trouver surpris. Le concert est terminé. Définitivement. C'est triste. Je ne veux pas partir. Je resterais bien la encore une heure ou deux... Mais ce n'est pas possible. Je n'ai plus que mes souvenirs, les quelques photos et vidéos prisent pendant le concert pour revivre cette superbe soirée, mais aussi la certitude que je retournerais les voir. Le concert de Boulevard des Airs est terminé et laisse dans mon cœur, de supers souvenirs et une heure trente de pur bonheur.

Ils passent en avril 2017 à la Halle Tony Garnier à Lyon, je pense sérieusement à convaincre une amie d'y aller avec moi... Sinon, j'ai craqué... Encore. J'ai définitivement acheté l'album Collector de Boulevard des Airs... Faible que je suis.

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Soirée Harry Potter

LUMOS MAXIMA ! 

Jeudi 13 octobre 2016, Dijon, veille de la sortie de Harry Potter et l'enfant maudit en français, Cultura organise une soirée spéciale. La soirée est prévue de 20h30 à 1h00 et de nombreuses activités sont prévues pour faire patienter la foule de fan venue pour l'occasion.

20H30.

Arrivée sur les lieux. C'est à dire, la Toison d'Or. Des personnes attirent ma jalousie. Moi aussi je veux une cape ! J'ai légèrement l'impression d'être ridicule avec mon pauvre petit tee-shirt Hufflepuff, mon collier Retourneur de Temps, mon collier vif d'or et mon bracelet Relique de la Mort. Un peu plus et je venais avec mon pyjama Serpentard ! Quoi qu'il en soit, je n'ai pas de cape, je n'ai pas pu me déguiser, je suis dégoûtée, je n'ai même pas de baguette. C'est décidé, un jour j'aurai tout l'attirail du parfait élève de Poudlard !
 

Dans l'entrée, la décoration est plutôt soignée, typique du monde de Harry Potter, un siège, le Choixpeau, des références au sorcier de notre enfance, un balais accroché au plafond. Décoration un peu cheap parfois, mais assez sympathique. Il y avait même une guirlande de chaussettes accrochée au plafond. Des chaussettes que j'ai croisé à Primark quelques semaines plutôt d'ailleurs. Inutile de dire que c'est sur ma liste de futurs achats. Plus ou moins utile certes, mais ça ira de paire avec mes trois pyjamas et mes quatre tee-shirt... Et puis, des chaussettes Poufsouffle c'est trop la classe, quoi !!

Il y a déjà beaucoup de monde. Enfin, beaucoup. Ça reste Dijon. Une masse de personne semble faire la queue, nous dirons un tas, un troupeau, une masse, parce que la queue est inexistante. On attend le questionnaire des B.U.S.E. Qui est ni plus ni moins qu'un simple questionnaire de culture générale sur Harry Potter. Les organisateurs n'ont pas fait assez de questionnaires. Ils doivent en réimprimés et agrafés les deux pages qui le compose. Ça prend un moment. Avec mon amie, nous décidons d'aller faire le tour de Cultura et des autres activités. Quelques stands de jeu sont installés. Il y a des jeu de sociétés, un petit jeu bien sympa de Quidditch, une boite au lettres avec des sorts dedans, des boites surprises... Dans l'autre partie du magasin, rien. On est plus côté livres de toute façon.

Le petit tour fait, nous retournons à la case départ. Nous attendons nos questionnaires des B.U.S.E qui ne sont toujours pas arrivés. A leur arrivée tout le monde se jette dessus. Nous finissons tout de même par avoir nos exemplaires. Je ne savais pas qu'avoir des copies d'examen pouvait être aussi fatigant. Nous allons nous installées au milieu des disques. C'est sans aucun doute l'endroit le plus calme, loin de l'agitation ambiante. En plus on y entend parfaitement la musique d'ambiance. On s'amuse à reconnaître les scènes des bandes sons Harry Potter. Nous répondons au questionnaire. Pas très difficile d'ailleurs. Il commence quand même par « Comment s'appelle le professeur de potion ? ». Clairement peu précis aussi. La bonne réponse c'est Rogue ou Slughorn... Imprécisions qui donne lieu a de nombreuses réponses double. Notre principale faiblesse ? L'orthographe. Slughorn, Flitwick, McGonnagal... Vous avez déjà essayez d'écrire Trelawnay de tête ?

Des faiblesses sur nos maisons respectives apparaissent aussi. Mon amie doute sur l'orthographe de Gryffondor, et moi... Je me rend compte que je n'ai aucune idée du nom du fantôme de Poufsouffle. La honte. Maintenant je sais qu'il s'agit du Moine Gras. Merci Internet.

Peu après 21h30

Oui il a au moins fallut tout ce temps pour si peu de choses. Au moins. Le retour de la queue. Forcement, une fois le questionnaire donné et remplis, place aux corrections. Il n'y a QUE deux personnes pour corriger. Du coup il y a un monde fou dans la file. Résultat, notre patience des limites, nous sortons de la file.

Vous connaissez le bière pong ? Oui forcement. Et bien imaginer ça en version Quidditch, avec trois anneaux, cinq boules de papiers, des gobelets a points, et sans la bière. Le but du jeu, lancé une boule de papier dans les anneaux, et atterrir dans un gobelets. Un gobelet a 50 points, 2 à 40, 3 à 30, 4 à 20 et 5 à 10 points. Beaucoup plus facile à dire qu'à faire. Une tentative avec ces règles, et nous découvrons que c'est littéralement impossible. On passe plus de temps à envoyer les gobelets valser qu'à mettre le papier dedans. Donc... Nous décidons de changer les règles. Un gobelet de touché est un point marqué. Un gobelet de tombé, c'est la moitié des points du gobelet qui sont marqué. La totalité des points est donné à l'atterrissage miraculeux du papier dans le gobelet. Je trouve nos règles bien plus sympa. Nous passons un temps à jouer. Nous rencontrons des membres de l'équipe de Quidditch de Dijon qui essaient de recruter de nouvelles personnes. Au moins pour venir voir ce que ça donne. Je pense que je vais aller voir.

22H00

Début de la chasse aux Horcruxes. Nous avons loupé le top départ. On ne peut pas tout faire. On ne peut pas jouer au Gobelet Quidditch et faire la chasse aux Horcruxes. Nous n'avons pas le papier explicatif, donc on le chercher pendant un moment. On perd du temps. Finalement, nous prenons un photo du papier et c'est partis. On a trouver 3 Horcruxes. On a fait une fois le tour du magasin avant d'apprendre que la première personne qui les a trouver a gagner le livre. Sans enjeux c'est bien moins drôle. Je profite d'un petit moment pour acheter les Contes de Beedle le Barde. Le seul des trois que je n'ai pas jusqu'alors.

Nous allons finalement faire corriger nos copies, parce qu'il n'y a plus personnes. Mon résultat : 0 fautes. Ils auraient pu rester dans le thème jusqu’au bout et noter Optimal quand même. Mais il ne l'on pas fait. Tant pis. Nous aurions eu un peu plus de patience nous aurions eu un cadeau en rapport avec Harry Potter. Mais nous avons eu un petit sac et une boite à thé. C'est pas mal, on peut ranger plein de truc dedans. Et puis elle est jolie.

Nous faisons passer le temps. Les boites mystère. Vous savez, les boites ou on voit rien de ce qu'il y a dedans et ou il faut mettre sa main. Et bien nous mettons nos mains. Un substance gélatineuse, de l’antibactérien pour les mains, du coton, des bonbons et... Une fausse araignée. Je n'y ai pas mis ma mains. Faut pas déconner.

Retour sur le stand de Quidditch. Nous démarrons une partie exaltante. Nous comptons vraiment nos points, selon nos règles, nous ajoutons même un gobelet à la base de l'un des anneaux à valeur de 5 points. Je démarre mal. 1 point seulement. Je réitère cet exploit quelques passages plus tard. Et finalement, je suis déclarée vainqueur. Comment, je ne sais toujours pas. Notre comptage des points doit être légèrement mal fait finalement.

23H00

A la recherche d'un plateau de jeu de société abandonné, il y en a pas de libre, à notre plus grande déception. Et début du concours de Cosplay. Petite déception personnelle, aucun de Poufsouffle. Nous étions très peu représenter. Quelle tristesse. Une si belle maison. Incomprise, mais tellement parfaite. La maison de l'amitié, et de l'entraide. Une maison dotée d'une salle commune a côté des cuisines, qualité non négligeable. Je vous entends d'ici vous moquer, mais sachez que je suis fière de porter les couleurs de ma maison, même si il est  particulièrement difficile de porter la couleur jaune... Bref, il y avait une quantité non négligeable de Gryffondor (quasi totalité de Harry Potter et autre Hermione Granger) et une Serpentard. Je ne sais pas trop ce que la petite gagnante à eu, mais je crois qu'il s'agit d'une baguette et du bouquin. Moi je m'en sort avec un joli marque page. Il fallait juste demander à l'accueil pour l'avoir... Mais on a un peu bataillé quand même. Il fallait arriver au bon moment à l'accueil mine de rien.

Après la délibération il est déjà près de 23h30 et il ne reste que 30 minutes avant de pouvoir enfin tenir le livre entre nos mains.

23h40

Nous nous sommes mise dans la file des caisses et nous avons tous attendu, fébrilement, que les minutes passent. Je crois que je n'ai jamais autant attendu pour payer quelques chose ! Vingt minutes dans une file. Les minutes passent longuement. Autre petite déception, pas de décompte. Juste une vendeuse de Cultura qui hurle « 2 MINUTES ! ». On a fait mieux comme lancement... 

23h59 

Les livres entrent dans notre champs de vision.

00H00 

Les vendeurs de Cultura commencent à distribuer les livres.

00H01 

Les caisses ouvrent. Les premiers livres sont vendus. Je suis la troisième à l'avoir acheter dans ma file. J'ai fais partie des premiers acheteurs, j'en fait une fierté personnelle. Le seul fait d'avoir tenu le livre a minuit était magique. 

LE GRAAL M'APPARTIENT !

1H00

C'est épuisée que j'arrive chez moi, trempée jusqu'au os à cause de la pluie, mais heureuse de ma soirée et d'être en possession de Harry Potter et l'Enfant Maudit. Et des Comtes de Beedle le Barde aussi.

Ho, et, juste en passant. C'est vraiment glauque la Toison d'Or à minuit et demi !!

NOX